Listen free for 30 days
Listen with offer
-
Vivre avec nos morts
- Petit traité de consolation
- Narrated by: Delphine Horvilleur
- Length: 5 hrs and 22 mins
Failed to add items
Add to basket failed.
Add to wishlist failed.
Remove from wishlist failed.
Adding to library failed
Follow podcast failed
Unfollow podcast failed
£0.00 for first 30 days
Buy Now for £12.99
No valid payment method on file.
We are sorry. We are not allowed to sell this product with the selected payment method
Summary
Être rabbin, c'est vivre avec la mort : celle des autres, celle des siens.
Mais c'est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : "Je me tiens aux côtés de femmes et d'hommes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits."
La tapisserie de ce livre de consolation tresse étroitement trois fils : le conte, l'exégèse et la confession.
La narration d'une vie interrompue, la manière de donner sens à cette mort à travers les textes de la tradition, et l'évocation d'une blessure intime ou la remémoration d'un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli.
Les textes sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les morts : "Le rôle d'un conteur est de se tenir à la porte pour s'assurer qu'elle reste ouverte." Et permettre ainsi à chacun de faire la paix avec ses fantômes.
Delphine Horvilleur livre un texte à la fois intime et universel, puissante réflexion sur le deuil et la mémoire. De sa belle voix chantante, elle offre une lecture lumineuse, qui dessine une voie de dialogue entre les vivants et les disparus.
Critic reviews
La presse en parle :
"Cet étincelant traité de consolation écrit par une femme rabbin touche à l'universel. Une lecture bienvenue."
Maurice Szafran, Challenges
"Dans un nouveau livre drôle et bouleversant, la rabbin iconoclaste met des mots justes sur notre époque et ses fantômes."
Marion Ruggieri, Elle
"À l'heure de la pandémie, la femme rabbin Delphine Horvilleur tisse des liens entre vivants et disparus, entre textes sacrés et interrogations contemporaines, dans un livre consolatoire."
Marie Chaudey, La vie